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Tout commença en 2432, sous le règne du sharükos Abylus, l’Empereur du peuple fyros, lorsque des mineurs découvrirent accidentellement de mystérieuses ruines dans les Primes Racines. Encouragés par cette découverte, le peuple fyros entreprit des chantiers de fouilles archéologiques partout dans le Désert, et de plus en plus profondément. Malheureusement, deux ans plus tard, un gigantesque incendie se déclara dans les Mines d’Ambre de Coriolis et embrasa les territoires desséchés environnants. Le feu s'étendit rapidement aux territoires homins, ravageant la ville de Coriolis, et formant une traînée ardente jusqu'aux grandes forêts des Matis. L’incendie fit rage des semaines durant, coupant le gigantesque aqueduc alimenté par des éoliennes qui reliait le Désert à la région des Lacs. L’Aqueduc, dont la construction avait débuté en 2289, symbolisait l’alliance commerciale et militaire qui unissait les deux peuples : l’Empire s’engageait à protéger la Fédération de Trykoth, qui fournissait en échange de l’eau en abondance au peuple fyros ''via'' la Route de l’Eau. L’essor de l’Empire Fyros devait beaucoup à l’Aqueduc et à sa route commerciale. Accusant les mineurs fyros d’être responsables de cette catastrophe, l'Empereur en profita pour placer les guildes de mineurs sous juridiction impériale et pour élaborer le Code des Mines, supposé renforcer les droits des mineurs et les devoirs des chefs de guilde. Malheureusement, de nombreuses guildes durent mettre la clé sous la porte, trop impactées par les implacables nouvelles lois. La majorité s’y plia cependant, et cela même s’il n’était désormais plus possible de financer des fouilles ambitieuses, car jugées trop risquées. La crise atteignit son paroxysme lorsque Pyto succéda à son père Abylus, emporté par la maladie. Durant cette triste période, le tyrannique sharükos Pyto dilapida les économies de l’Empire, déjà bien malmenées par l’application du Code des Mines. Conscient des risques que Pyto faisait prendre à son peuple, son frère cadet Thesop essaya de lui faire entendre raison, et de le guider vers le droit chemin. Malheureusement, le fier Empereur Pyto ne voulut rien entendre. Ainsi s’écoulèrent deux années difficiles, où beaucoup virent la fin de l’Empire approcher. Mais, alors que l’on croyait l’espoir perdu à jamais, Thesop défia en duel son frère, qui accepta, et y perdit la vie. C’est ainsi que, comme le veut la tradition impériale, Thesop prit le pouvoir en 2440. Durant les années qui suivirent, le nouveau sharükos s'évertua à renflouer les caisses impériales et à abroger les lois liberticides promulguées par son défunt père. Ainsi débuta le règne de Thesop le Bâtisseur. Et c’est donc à cette époque que le père de Tiralion Nebius fonda la guilde des Têtes de Pioches, profitant de l’abolition du Code des Mines pour lancer un gigantesque projet minier et répondre au désir de Vérité enfoui dans le cœur de chaque Fyros, et que ses prédécesseurs n'étaient pas parvenu à étouffer.
 
Tout commença en 2432, sous le règne du sharükos Abylus, l’Empereur du peuple fyros, lorsque des mineurs découvrirent accidentellement de mystérieuses ruines dans les Primes Racines. Encouragés par cette découverte, le peuple fyros entreprit des chantiers de fouilles archéologiques partout dans le Désert, et de plus en plus profondément. Malheureusement, deux ans plus tard, un gigantesque incendie se déclara dans les Mines d’Ambre de Coriolis et embrasa les territoires desséchés environnants. Le feu s'étendit rapidement aux territoires homins, ravageant la ville de Coriolis, et formant une traînée ardente jusqu'aux grandes forêts des Matis. L’incendie fit rage des semaines durant, coupant le gigantesque aqueduc alimenté par des éoliennes qui reliait le Désert à la région des Lacs. L’Aqueduc, dont la construction avait débuté en 2289, symbolisait l’alliance commerciale et militaire qui unissait les deux peuples : l’Empire s’engageait à protéger la Fédération de Trykoth, qui fournissait en échange de l’eau en abondance au peuple fyros ''via'' la Route de l’Eau. L’essor de l’Empire Fyros devait beaucoup à l’Aqueduc et à sa route commerciale. Accusant les mineurs fyros d’être responsables de cette catastrophe, l'Empereur en profita pour placer les guildes de mineurs sous juridiction impériale et pour élaborer le Code des Mines, supposé renforcer les droits des mineurs et les devoirs des chefs de guilde. Malheureusement, de nombreuses guildes durent mettre la clé sous la porte, trop impactées par les implacables nouvelles lois. La majorité s’y plia cependant, et cela même s’il n’était désormais plus possible de financer des fouilles ambitieuses, car jugées trop risquées. La crise atteignit son paroxysme lorsque Pyto succéda à son père Abylus, emporté par la maladie. Durant cette triste période, le tyrannique sharükos Pyto dilapida les économies de l’Empire, déjà bien malmenées par l’application du Code des Mines. Conscient des risques que Pyto faisait prendre à son peuple, son frère cadet Thesop essaya de lui faire entendre raison, et de le guider vers le droit chemin. Malheureusement, le fier Empereur Pyto ne voulut rien entendre. Ainsi s’écoulèrent deux années difficiles, où beaucoup virent la fin de l’Empire approcher. Mais, alors que l’on croyait l’espoir perdu à jamais, Thesop défia en duel son frère, qui accepta, et y perdit la vie. C’est ainsi que, comme le veut la tradition impériale, Thesop prit le pouvoir en 2440. Durant les années qui suivirent, le nouveau sharükos s'évertua à renflouer les caisses impériales et à abroger les lois liberticides promulguées par son défunt père. Ainsi débuta le règne de Thesop le Bâtisseur. Et c’est donc à cette époque que le père de Tiralion Nebius fonda la guilde des Têtes de Pioches, profitant de l’abolition du Code des Mines pour lancer un gigantesque projet minier et répondre au désir de Vérité enfoui dans le cœur de chaque Fyros, et que ses prédécesseurs n'étaient pas parvenu à étouffer.
  
En effet, depuis toujours, le peuple fyros était obsédé par les profondeurs de l'Écorce. Creusant sans discontinuer malgré les interdits de la Karavan, les Fyros étaient à la recherche de Fyrak le Grand Dragon, l’entité maléfique qui, d’après le mythe, aurait amené les homins sur Atys, un monde désertique, glacial et obscur, afin de les réduire en esclavage. Selon ce même mythe, Jena, la Déesse de l’Astre du Jour, eut vent de la perfidie de Fyrak, et provoqua la Poussée Verte, afin de transformer Atys en un monde luxuriant et lumineux, et de piéger le Grand Dragon dans ses entrailles, libérant ainsi les homins de son joug. Vaincu par la déesse Jena, Fyrak réussit néanmoins à marquer Atys de son empreinte, et les cendres issues de son souffle enflammé s’inscrutèrent partout, des lignes de l’écorce primordiale en passant par l’air et les cellules de chaque être vivant. Des cendres draconiques qui contenaient en elles les restes de la colère de Fyrak, et qui permettaient aux homins de manipuler la Sève et donc de réaliser des exploits magiques. Seuls les agents de la Karavan, protégé par leurs armures bénies par Jena, ne furent pas contaminés.
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En effet, depuis toujours, le peuple fyros était obsédé par les profondeurs de l'Écorce. Creusant sans discontinuer malgré les interdits de la Karavan, les Fyros étaient à la recherche de Fyrak le Grand Dragon, l’entité maléfique qui, d’après le mythe, aurait amené les homins sur Atys, un monde désertique, glacial et obscur, afin de les réduire en esclavage. Selon ce même mythe, Jena, la Déesse de l’Astre du Jour, eut vent de la perfidie de Fyrak, et provoqua la Poussée Verte, afin de transformer Atys en un monde luxuriant et lumineux, et de piéger le Grand Dragon dans ses entrailles, libérant ainsi les homins de son joug. Vaincu par la déesse Jena, Fyrak réussit néanmoins à marquer Atys de son empreinte, et les cendres issues de son souffle enflammé s’incrustèrent partout, des lignes de l’écorce primordiale en passant par l’air et les cellules de chaque être vivant. Des cendres draconiques qui contenaient en elles les restes de la colère de Fyrak, et qui permettaient aux homins de manipuler la Sève et donc de réaliser des exploits magiques. Seuls les agents de la Karavan, protégé par leurs armures bénies par Jena, ne furent pas contaminés.
  
 
Pour autant, malgré les pouvoirs octroyés par les cendres draconiques, que le peuple Zoraï nommait aussi particules spirituelles, la plus grande ambition du peuple fyros restait de trouver et d'exterminer le Grand Dragon, qu’ils savaient être à l’origine des grands incendies qui ravageaient le Désert, prémisses de son retour apocalyptique. Bien entendu, Tiralion ne croyait pas au Mythe du Dragon. Il savait simplement flairer les investissements lucratifs et jouer de la corde patriotique. Après tout, il était aussi devenu au fil des années un fin politicien, conseillé et formé par son épouse.
 
Pour autant, malgré les pouvoirs octroyés par les cendres draconiques, que le peuple Zoraï nommait aussi particules spirituelles, la plus grande ambition du peuple fyros restait de trouver et d'exterminer le Grand Dragon, qu’ils savaient être à l’origine des grands incendies qui ravageaient le Désert, prémisses de son retour apocalyptique. Bien entendu, Tiralion ne croyait pas au Mythe du Dragon. Il savait simplement flairer les investissements lucratifs et jouer de la corde patriotique. Après tout, il était aussi devenu au fil des années un fin politicien, conseillé et formé par son épouse.
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— Venez, je vous dis ! C’est Bélénor ! »
 
— Venez, je vous dis ! C’est Bélénor ! »
  
Tiralion posa son verre à contrecœur et se leva. Il soupira. Décidément, il ne comprenait pas l’attrait que certains avaient pour les nouveaux-nés. Bélénor avait quelques mois à peine, et sa vie se résumait à dormir, manger et déféquer. Jusqu'à ce qu’il apprenne à faire des calculs, son père ne voyait pas en quoi l'enfant aurait pu l'intéresser. Ne pouvant contenir son impatience, sa femme l’attrapa par la main et le tira en direction des étages. Un investissement. Il devait le considérer comme un investissement… Quelques escaliers plus tard, c’est à bout de souffle que le corpulent Fyros arriva à proximité de la chambre de son fils. Eutis l’attrapa par les épaules et lui lança un regard sévère.
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Tiralion posa son verre à contrecœur et se leva. Il soupira. Décidément, il ne comprenait pas l’attrait que certains avaient pour les nouveau-nés. Bélénor avait quelques mois à peine, et sa vie se résumait à dormir, manger et déféquer. Jusqu'à ce qu’il apprenne à faire des calculs, son père ne voyait pas en quoi l'enfant aurait pu l'intéresser. Ne pouvant contenir son impatience, sa femme l’attrapa par la main et le tira en direction des étages. Un investissement. Il devait le considérer comme un investissement… Quelques escaliers plus tard, c’est à bout de souffle que le corpulent Fyros arriva à proximité de la chambre de son fils. Eutis l’attrapa par les épaules et lui lança un regard sévère.
  
 
« Regardez discrètement par la porte, et surtout, ne faites pas de bruit ! »
 
« Regardez discrètement par la porte, et surtout, ne faites pas de bruit ! »
  
Tiralion leva les yeux au ciel et s’approcha de la porte de la chambre laissée entrouverte. Qu’est ce qui avait pu mettre Eutis dans un tel état ? Peut-être Bélénor avait-il réussi à passer par-dessus les rambardes de son berceau, ce qui représentait effectivement un exploit vu son jeune âge ? Oui, c’était sûrement cela. Pressé de retrouver son verre de shookie, le Fyros passa sa tête par l’entrebâillement de la porte. Et alors qu’il posait ses yeux sur le berceau de son fils, il hurla.
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Tiralion leva les yeux au ciel et s’approcha de la porte de la chambre laissée entrouverte. Qu’est-ce qui avait pu mettre Eutis dans un tel état ? Peut-être Bélénor avait-il réussi à passer par-dessus les rambardes de son berceau, ce qui représentait effectivement un exploit vu son jeune âge ? Oui, c’était sûrement cela. Pressé de retrouver son verre de shookie, le Fyros passa sa tête par l’entrebâillement de la porte. Et alors qu’il posait ses yeux sur le berceau de son fils, il hurla.
  
Un Kami Noir, sans nul doute originaire de la jungle, flottait au dessus du petit lit. Reculant de plusieurs pas, le Fyros percuta le mur et tomba à la renverse. Eutis se précipita sur le seuil de la porte, mais le mal était fait : le Kami avait disparu.
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Un Kami Noir, sans nul doute originaire de la jungle, flottait au-dessus du petit lit. Reculant de plusieurs pas, le Fyros percuta le mur et tomba à la renverse. Eutis se précipita sur le seuil de la porte, mais le mal était fait : le Kami avait disparu.
  
 
« Tiralion ! Je vous avais dit de ne pas faire de bruit !
 
« Tiralion ! Je vous avais dit de ne pas faire de bruit !
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« Laisse-moi, Varran. Si des soldats apprennent que…
 
« Laisse-moi, Varran. Si des soldats apprennent que…
  
— Oh la ! Je t’arrête tout de suite Bélénaze. Tu crois que j’en ai quelque chose à foutre de la garde impériale ? Qu’est ce qu’elle va me faire ? Me mettre au trou parce que j’ai bousculé un fils de bourge ? Ça se voit que t’as jamais mis les pieds dans les bas-quartiers, toi. On vit déjà dans un trou, là-bas. »
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— Oh ! Je t’arrête tout de suite Bélénaze. Tu crois que j’en ai quelque chose à foutre de la garde impériale ? Qu’est-ce qu’elle va me faire ? Me mettre au trou parce que j’ai bousculé un fils de bourge ? Ça se voit que t’as jamais mis les pieds dans les bas-quartiers, toi. On vit déjà dans un trou, là-bas. »
  
 
Bélénor baissa la tête et fixa ses sandales en silence. Dans son dos, les deux autres adolescents étaient arrivés à leur niveau.
 
Bélénor baissa la tête et fixa ses sandales en silence. Dans son dos, les deux autres adolescents étaient arrivés à leur niveau.
  
« Alors Bélénaze, t’as perdu ta langue ? Pourtant t’étais bien bavard ce matin, à l’Académie. Tu te rappelles ce que t’as dis ?
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« Alors Bélénaze, t’as perdu ta langue ? Pourtant t’étais bien bavard ce matin, à l’Académie. Tu te rappelles ce que t’as dit ?
  
 
— Varran, écoute…
 
— Varran, écoute…
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En entendant prononcer son nom, Bélénor leva la tête. L’adolescent lui souriait malicieusement. L’enfant rougit une seconde fois et regarda le sol.
 
En entendant prononcer son nom, Bélénor leva la tête. L’adolescent lui souriait malicieusement. L’enfant rougit une seconde fois et regarda le sol.
  
« Oui, je te connais. Varran et Garius m’ont parlé de toi. Si on ne prend pas en compte les disciplines physiques, tu es le meilleur élève de votre section, à l’Académie. Mais c’est surtout ton arrogance qui te fait remarquer, n’est-ce pas ? À vrai dire, je ne sais même pas si tu t’entends parler… Tu sais, à ce rythme là, tu risques de perdre les quelques amis qu’il te reste. »
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« Oui, je te connais. Varran et Garius m’ont parlé de toi. Si on ne prend pas en compte les disciplines physiques, tu es le meilleur élève de votre section, à l’Académie. Mais c’est surtout ton arrogance qui te fait remarquer, n’est-ce pas ? À vrai dire, je ne sais même pas si tu t’entends parler… Tu sais, à ce rythme-là, tu risques de perdre les quelques amis qu’il te reste. »
  
 
Instantanément, Bélénor pensa à sa seule amie. Il se demanda s’il avait déjà vexé Brandille, avant de se demander s’il était possible de vexer Brandille… L’inconnu posa ses yeux sur la feuille qu’il tenait en main.
 
Instantanément, Bélénor pensa à sa seule amie. Il se demanda s’il avait déjà vexé Brandille, avant de se demander s’il était possible de vexer Brandille… L’inconnu posa ses yeux sur la feuille qu’il tenait en main.
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À ces mots, l’inconnu lui tendit la feuille. Bélénor récupéra son bien, toujours silencieux, et osa cette fois-ci le regarder. L’adolescent lui fit un clin d'œil puis se dirigea tranquillement vers la grande avenue. Bélénor le suivait des yeux, comme hypnotisé, lorsqu'à mi-chemin, il s’arrêta net et se retourna. Sur son visage, l’air malicieux avait laissé place à une puissante détermination.
 
À ces mots, l’inconnu lui tendit la feuille. Bélénor récupéra son bien, toujours silencieux, et osa cette fois-ci le regarder. L’adolescent lui fit un clin d'œil puis se dirigea tranquillement vers la grande avenue. Bélénor le suivait des yeux, comme hypnotisé, lorsqu'à mi-chemin, il s’arrêta net et se retourna. Sur son visage, l’air malicieux avait laissé place à une puissante détermination.
  
« Quand je serais grand, j’ai pour projet de réunir toutes les tribus à l’Ouest du Désert, où je suis né. Là bas, la vie est bien plus difficile qu’ici. Ni armée régulière, ni aqueduc… J'aimerais pouvoir y fonder une grande cité, égale à Fyre. Bien sûr, faire la guerre aux tribus insoumises pour forcer leur coopération pourrait suffire. Mais là ne sont pas mes valeurs. Je me promets d’y arriver à ma manière : prouver ma bravoure, accomplir des exploits, gagner leur confiance. Mais pour ce faire, quelqu’un devra raconter mon histoire. Quelqu’un devra faire de moi le héros dont ils ont besoin. J’aime m’entourer de talents, Bélénor Nébius. Et un jour, j’aurai besoin de quelqu’un comme toi. »
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« Quand je serais grand, j’ai pour projet de réunir toutes les tribus à l’Ouest du Désert, où je suis né. Là-bas, la vie est bien plus difficile qu’ici. Ni armée régulière, ni aqueduc… J'aimerais pouvoir y fonder une grande cité, égale à Fyre. Bien sûr, faire la guerre aux tribus insoumises pour forcer leur coopération pourrait suffire. Mais là ne sont pas mes valeurs. Je me promets d’y arriver à ma manière : prouver ma bravoure, accomplir des exploits, gagner leur confiance. Mais pour ce faire, quelqu’un devra raconter mon histoire. Quelqu’un devra faire de moi le héros dont ils ont besoin. J’aime m’entourer de talents, Bélénor Nébius. Et un jour, j’aurai besoin de quelqu’un comme toi. »
  
 
Bélénor rangea sa feuille en tremblotant. Son cœur battait la chamade. Pourquoi était-il autant perturbé par ce Fyros ? Lui qui, d’ordinaire, ne perdait jamais la face ?
 
Bélénor rangea sa feuille en tremblotant. Son cœur battait la chamade. Pourquoi était-il autant perturbé par ce Fyros ? Lui qui, d’ordinaire, ne perdait jamais la face ?

Версия 20:07, 24 марта 2022

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